Soit [math] un nombre complexe non nul tel que [math] et [math].
Alors :[math]Cette écriture est appelée l’écriture trigonométrique du complexe [math].
Soit [math] avec [math] et [math] réels, un complexe non nul.
On pose :[math]Nous avons vu que l’on a [math]. [math] étant non nul, nous avons [math].
On peut donc écrire :[math]On note [math] et [math].
On a :[math]Notons [math] les coordonnées de [math] :[math]Remarquons que [math]. Ainsi, [math] est un point du cercle trigonométrique.On a donc [math] et [math].
Finalement : [math]
Soit [math] un complexe non nul tel que [math], avec [math] un réel strictement positif.
Alors :[math]
Soit [math].
Calculer [math] et [math].
On remarque que [math].
Donc :[math]Finalement :[math]On a alors l’écriture trigonométrique de [math], d’où :[math]
Soit [math] un nombre complexe non nul tel que [math] et [math] avec [math] réel strictement positif.
Soit [math] le point du plan d’affixe [math]. Alors le couple [math] constitue les coordonnées cartésiennes du point [math], alors que le couple [math] constitue les coordonnées polaires du point [math].
Soit [math] un nombre complexe non nul, nous pouvons l’écrire :
- Algébriquement[math]
- Trigonométriquement[math]
On peut aisément passer d’une écriture à l’autre. En effet :
- Si on connaît l’écriture algébrique [math], alors on peut déduire le module et l’argument grâce aux relations suivantes :
[math] - Dans l’autre sens, si on connaît l’écriture trigonométrique [math] avec [math], alors on peut déduire les parties réelles et imaginaires grâce aux relations suivantes :[math]
Soit [math].
Alors, [math] et nous obtenons [math].
Avec les notations ci-dessus, nous cherchons [math] tel que :[math]Nous pouvons choisir [math] et ainsi :[math]
Soit [math].
Nous obtenons :[math]